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TRIANGLE DE KARPMAN

TRIANGLE DE KARPMAN

Bonjour belle âme,


Je suis Bethayael, et je te souhaite la bienvenue dans cet espace sa-cré…

sur Les clés de Bethayael – Les Portes de l’âme, un espace de reconnexion, d’éveil et de transformation.


Et si je te disais qu’il existe, dans l’invisible de nos relations, un jeu inconscient que nous

activons sans même nous en rendre compte ?


Un triangle énergétique où nos blessures, nos croyances et nos masques se rencontrent et

rejouent encore et encore le même scénario ?


Ce n’est ni un hasard, ni une fatalité…

C’est un appel à la conscience, un miroir sacré.


Et aujourd’hui, nous allons explorer ensemble le triangle dramatique de Karpman – un outil spirituel précieux pour reprendre notre souveraineté dans les relations humaines.


L’Origine du triangle : un théâtre de l’ego


Dans les années 60, un médecin du nom de Stephen Karpman a mis en lumière un schéma énergétique que nous jouons sans le savoir…


Il l’a nommé le triangle dramatique.


Ce triangle, c’est une danse inconsciente entre trois rôles qui s’activent en nous lorsque nos blessures cherchent à être vues, entendues, ou réparées…


Mais sans passer par la conscience.

C’est un théâtre…

où chacun endosse un masque : la Victime, le Sauveur, et le Bourreau.


Et parfois, nous les jouons tous… dans la même scène.


Les trois rôles : les masques de l’illusion

  • La Victime


Elle dit : "Je ne peux pas, je ne sais pas, je suis seule…".

Elle attend qu’on la sauve… elle croit qu’elle n’a pas le pouvoir.

Mais derrière ce masque se cache une immense puissance oubliée.


  • Le Sauveur

Il dit : "Laisse, je vais le faire pour toi."Il croit bien faire, il pense aider…

Mais il prive l’autre de sa propre lumière.

Il nourrit sa propre valeur à travers le besoin de l’autre.


  • Le Bourreau

Il dit : "C’est ta faute. Tu n’es pas assez. Tu dois changer."

Il se sent fort, mais ce n’est qu’une armure forgée dans la peur et la blessure.

Ces rôles ne sont ni bons ni mauvais.

Ils sont des signaux, des portes d’accès vers notre vérité cachée.

Pourquoi entrons-nous dans ce triangle ?

Parce que l’enfant intérieur, blessé, cherche encore à être aimé, reconnu, sécurisé.

Parce que les mémoires de l’âme, parfois anciennes, nous rejouent des scènes que nous

n’avons pas encore guéries.

C’est un appel… un appel à reprendre notre souveraineté intérieure.


Comment sortir du jeu ? Comment transmuter le triangle ?


  • 1. Prendre conscience du masque que l’on porte.

Rien ne peut être guéri tant qu’il reste caché.

Observe-toi avec douceur. Pas de jugement. Juste la lumière de la conscience.


  • 2. Transmuter les rôles en archétypes éveillés :

• La Victime devient Créatrice : elle retrouve sa voix, son choix, sa puissance.

• Le Bourreau devient Gardien de la Vérité : il ose dire, avec amour et respect.

• Le Sauveur devient Guérisseur conscient : il honore le chemin de l’autre, sans le

porter.


  • 3. Offrir de l’amour à chaque rôle.

Chaque masque est un enfant blessé qui cherche à être vu.

Alors, envoie-lui de la lumière. Remercie-le… puis laisse-le partir.

Un message pour ton âme

Si tu te reconnais dans l’un de ces rôles…

Sache que tu n’es pas le rôle. Tu es la conscience qui l’observe.Tu es venue ici pour guérir, pas pour te perdre dans le théâtre du monde.

Et chaque fois que tu sors de ce triangle, tu reprends ta place sacrée dans le cercle de l’âme.


Maintenant, belle âme, j’aimerais que l’on échange

Qu’est-ce que cette vidéo a éveillé en toi ?

As-tu reconnu l’un de ces rôles dans ta vie ?

Et quelle posture choisis-tu d’incarner dès aujourd’hui, pour honorer ton chemin d’âme ?

Je te lis avec présence et bienveillance,

Et chaque mot partagé ici élève notre vibration collective.



Si cette vidéo t’a parlé, mets un pouce lumineux, abonne-toi à la chaîne @LesclésdeBethayael – Les Portes de l’âme, et active la cloche pour rester connecté à nos explorations spirituelles.


À très bientôt,

Et n’oublie jamais…

Tu es la vibration que tu choisis d’incarner.

Je suis Bethayael, et je t’ouvre les Portes de l’Âme, là où le Verbe devient vivant, et où tu te rappelles que tu es Amour.

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